À propos

Un peu plus sur nous et ce qui motive ce voyage.

D'abord, un peu sur nous

Noémie
Noemie

Noémie passe son temps à l’écoute de signaux faibles. Elle puise des ressources dans le design de service (public), les formes que prennent l’agilité, les politiques d’ouverture (de données), les droits des femmes.
Après avoir travaillé la présence web d’un lieu culturel (la Gaîté lyrique) puis s’être formée au métier de Product Owner à Londres (dans l’agence Made by Many), elle pratique la recherche utilisateur et s’intéresse aux systèmes et aux services.
Elle a toujours un pied dans le monde anglophone, entre autres à la suite d'études de littérature anglophone — particulièrement sur l’angle postcolonial.
Elle passe pas mal de temps à comprendre et interroger la manière dont les organisations s’adressent à leur public et partagent leurs réflexions. Elle aime particulièrement créer des opportunités pour extraire les connaissances de gens qui développent des initiatives nouvelles et n’ont pas forcément le temps de réfléchir à la transmission.

    On la retrouvera :
  • en train d’écouter des podcasts
  • en train de scroller sur twitter pour s’imprégner de voix féministes
  • en train de trouver des recettes de kéfir ou de fermentation
Addictions : la mozzarella bufala (la vraie) 🐄 et les correspondances 📮

Thomas
Thomas

Thomas est un autodidacte, au sens le plus positif du terme.
D’abord en développement - depuis son premier site sur les jeux vidéos lancé à 12 ans jusqu’au déménagement en Angleterre à 30 ans pour rejoindre l’équipe R&D de la BBC.
Il s’interroge sur les manières de travailler, pratique et explore la collaboration et la coopération. Il s’imprègne de communautés diverses, et dans son travail on retrouve des traces d’agilité, de valeurs et de communication ouvertes.

En 2016 il lance sa coopérative dtc innovation avec 2 co-fondat•eur•rice•s — un nouveau format de travail qui permet à la fois d’apporter de l’indépendance et de la liberté, de la variété dans les projets, mais aussi de nouvelles manières d’être investis ensemble sur un organe de travail, bénéficier de conseils, prendre de la perspective.
En plus : il s’est formé à la permaculture au Bec Hellouin en 2015 (le chanceux) après en avoir découvert les principes. Il a ensuite été bénévole à la Lea Organic Farm de Londres, en ayant adapté son rythme de travail à 4 jours par semaine.

    On le retrouvera :
  • passer du temps à travailler le sens, les besoins et les usages avant la solution.
  • partant à la recherche de personnes qui travaillent différemment.
  • les mains dans son levain pour faire du pain.
Addictions : le fromage 🧀 et le camping sauvage 🏕

Pourquoi l’itinérance ?

Le choix de mot est simple : on voulait s’éloigner le plus loin possible de l’imagerie de l’expression “digital nomade” farcie de clichés. On travaille à distance, et à notre compte, c’est sûr. Par contre, la plupart du temps, on n’est ni sur une plage, ni à Bali.

L’idée

Elle a fluctué.

    D’abord un “tour de France des tiers-lieux”, puis un “tour du sud de la France des tiers-lieux et des copains”, on part surtout avec pas mal de flexibilité :
  • à la rencontre d’acteurs des communs (technologiques, agricoles, d’information…) à travers des évènements ou des mises en relation.
  • au contact de gens et de démarches singulières (ça peut inclure un boulanger qui favorise la réimplantation de blés anciens comme un collectif de développeurs qui a décidé de moduler des formats de travail — c’est vaste et c’est voulu)
  • à la recherche d’un environnement de vie : une ville, un village, une région, les gens qui font vivre ces endroits. Pouvoir rejoindre un groupe de personnes impliquées dans un effort commun (quel qu’il soit) et pouvoir y participer est une composante essentielle de ce qu’on cherche.

Jusqu’à quand ?

Il n’y a pas de moment de fin défini à ce stade, peut être l’automne 2018, peut être plus tard.

Vous vous déplacez comment ?

En transports en commun et à pied.

Et pourquoi ce titre ? Est-ce que c'est du travail ?

Parce qu'on s'interroge sur cette notion. Du travail, la valeur travail, le travail rémunéré, qu'est-ce qui est considéré comme du travail, le travail émotionnel... Il y a tellement de choses à réfléchir ! C'est aussi parce qu'on se retrouve très souvent à discuter de nos projets et de notre travail en dehors des temps typiques du travail. La nuit, en soirée, le week-end... Parce que ça nous captive, ça nous arrive de rentrer dans une discussion-tunnel, et pour en sortir, en rigolant, on s'arrête. "Est-ce que c'est du travail ?" Si l'apprentissage que je fais par moi-même se fait en dehors de mon bureau, est-ce que c'est du travail ? Phrase versatile.

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